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Jacob Sutton

Un photographe, un génie ;
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Quotejoke

Faire ses devoirs la nuit c'est d'la balle quand même
Surtout quand y'en a beaucoup en fait

See you

J'me casse sur Tumblr, ici http://weirdlovetriangle.tumblr.com, c'est plus de la balle en fait.

Some art

Une dualité entre figuratif et abstrait, voilà le sujet qu'on m'avais donné, et voilà ce que j'ai fait. C'est ma toute première peinture à l'acrylique, je perçois une multitude de défauts mais ... pour une fois, je suis assez satisfaite de ce que cela donne. Dans l'ensemble ça rend bien, et pour quelqu'un qui, jusqu'à présent, détestait la peinture et pensait être le pire peintre de toute l'histoire de l'humanité, ça va, c'est pas trop mal.

J'ai adoré peindre, c'était une expérience géniale. Je vais continuer, pour m'améliorer. J'ai senti autre chose, c'était juste ... différent. Et sans faire exprès, au fond, je sais ce que j'ai exprimé par ce dessin ... ça fait peur.

This is cool

Voici le nouveau projet d'Animal Collective, ou devrais-je dire le nouveau miracle sur terre ♥, un visual album répondant au doux nom de ODDSAC. Le trailer est alléchant, explosif, étrange et surréaliste. J'attends celà avec impatience : ).
Voici une image, prise sur dazed diggital, que je dévore des yeux depuis que je l'ai découverte.

Non en faite, j'aime bien la peinture

Je comptais écrire ça hier soir, mais comme j'ai peint jusqu'aux alentours de minuit, j'étais trop fatiguée pour allumer mon portable et écrire un message sur blogspot en effleurant à peine les touches, pour ne pas faire soupçonner mes parents d'une quelconque autre activité que celle de dormir. 
Souvenez-vous, j'ai toujours haï peindre; la gouache, l'acrylique et l'huile seraient restées pour moi le trio infernal ne me rappelant sans cesse que j'étais médiocre si hier soir je ne m'y étais pas mise sérieusement. Maintenant, je suis PRESQUE médiocre. Ça change tout, c'est un progrès considérable. (suite à venir)

gosh

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Ca ou une bombe



Une violence contrôlée. C'est ça qui est pire.

Rhosalie et les chevals

Dédicace à Rhosalie : cliquez

Laissez-moi courir dans les champs

Il est .... hum, 19 h 00. Moi je suis là, j'écris un article d'une inutilité plus que profonde ... J'ai un dessin énorme à finir pour demain, j'ai rein foutu ... j'ai une synthèse d'histoire pour mercredi, j'men fout, et c'est pareil pour les maths. Le prof va arriver d'une minute à l'autre, prendre une GRAAANDE bouffée d'air pur .... ah ........................... en faite non, il vient de me téléphoner, juste là, comme quoi. C'est étrange ça. Enfin bref, du coup j'ai plus d'excuse pour pas faire mes devoirs. Bon, au revoir.

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Tuuuuu !

Hier fut une bonne journée. Elle débuta par un énorme coup de barre de parking sur ma tête, d'un poids environnant le quintal d'après ma douleur.. et se finit par un article sur blogspot. A défaut de pouvoir atteindre la contrée magique (Neuman's Park) dont nous nous efforçons de ne pas appeler "notre terre promise" pour ne pas attirer l'attention de quelque luxembourgeois à l'appareil auditif aiguisé, nous n'avons fait que parcourir la ville, à pied, remettant notre future épopée, ou devrais-je dire notre "exode" à un autre jour plus propice à une telle aventure. Au commencement de notre marche, je cru srecevoir une caisse à outils lourde d'un quintal sur la tête, et dans les rires aiguë de mon compagnon je constatais qu'il s'agissait d'une barre de parking, se baissant sur moi ... Je alors ris beaucoup, mais légèrement moins lorsque je me souvins que j'eusse déjà eu deux traumatismes crâniens, lorsque j'étais enfant (jamais deux sans trois haha). Heureusement, au cours de l'après midi, je ne fus prise d'aucune saute d'humeur ni de nausée. 
Un peu plus tard, je fis l'achat de 3 marinières (oui je suis une fille comme çà moi), d'une montre émeraude, d'une paire de lunettes rondes et noires qui me donnent un air de Graham Coxon et d'un pull, plutôt adapté de par son design au réveillon de Noël. Et, j'oubliais, d'un nouveau casque WeSC, puisque ce matin le miens, mon cher et tendre casque EDbanger ♥, avait rendu l'âme, après des heures et des heures d'ecstase musicale que j'avais partagé avec lui, comme une trans à deux, à laquelle nous nous adonnions chaque matin, et chaque soir. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, alors j'ai dit Adieu à EDouard, et baptisé le nouveau Flavien, en suivant la proposition de Yanis. La soirée fût nettement moins remplie, puisque j'appris que mon compagnon était en faite puni, obligé de rester cloitré chez lui, jusqu'à la fin de l'année scolaire [...], je parvins à négocier pour un cinéma, mais encore une fois ce moment fût gâchée par le manque de temps, et nous fûmes obligés de regarder un film français que je ne conseille à personne "l'amour c'est mieux à deux", daube monumentale, à l'image de beaucoup de films français (je dis bien beaucoup, car il a, par chance quelques exceptions). Heureusement, Woody nous remonta le moral.
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Believe me

Hier j'ai vu un singe dans ma chambre, mais il me regardait pas, et après il était plus là.
SUR LA TÊTE A MA MÈRE J'ME DROGUE PAS (en plus j'aime pas les singes, mais pas du tout)

Let's draw

Question existentielle

"Dàààn l4 viiii yL' Y aaah Déé Kèè$tiiiiiön Tro0o0w" existentielles, exemple (il faut cliquer si l'exemxemple)

Aléatoire

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Garder un morceau de soleil pour quand il disparaît




When we see your blue planet we feel tingly inside.
Spaceship cold from the vacuum of space traveling.
Kittens, hash, by the dozen, we feel tingly inside.
Burn and burn the reactor churns.


Our hands in our heads,
Space in the spaceship,
odd the planet. whoa oh.


We are alone, the world is not our home,
we breathe the air, we care,
We feel the pain, we cannot explain,
there are no words to be heard.


When we get where we're going we feel tingly inside
Eyes that glow like a burning dwarf,


Our hands in our heads,
Space in the spaceship,
odd the planet. whoa oh.


We are alone, the world is not our home,
we breathe the air, we care,
We feel the pain, we cannot explain,
there are no words to be heard.
A child's face is lost in outer space,
his eyes are red, in our heads.
We move along, we are pretty strong,
we breathe the air, we care.


We are alone, the world is not our home,
we breathe the air, we care,
We feel the pain, we cannot explain,
there are no words to be heard.
A child's face is lost in outer space,
his eyes are red, in our heads.
We move along, we are pretty strong,
we breathe the air, we care.


We care, WE CARE !

 

Rentrée

Cet article ne sera pas très long ... parce que j'ai super envie de faire pipi là ! Je gigote sur ma chaise comme un asticot ... Hum on va faire ça façon fast food :
Un menu rentrée, avec un Mega-tauleburger de physique et une sauce idéale pour foirer mon troisième trimestre. Hum .... Avec une frite moyenne, heu non ! des potatoes ! HA NON ! Heu non une crise d'angoisse, oui, une grosse. Oui, avec une sauce tremblements et nausées. Un coca déprimant. Des nuggets de poulet ... ah vous avez pas ? Bah alors ... un contrôle d'anglais foiré et des putains de spam sur mon ordi. Et un mac flury brownies et deux heures de maths à se pendre. Sur ce je vous laisse, sinon j'vais me pisser dessus les enfants. Aurevoir (je ne reviendrais pas cinquante fois comme les teletubbies non non).

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(vue d'ensemble du repas)

Someone nu in my head²

Il est minuit et demie

Il est minuit et demie, peut-être un peu plus ou un peu moins. J'ai beaucoup ri, avec toi. Et là, j'y repense et je regarde, avec mes yeux endormis par les énormes larmes qui s'en échapaient il n'y a pas très longtemps, ton visage, ton beau visage. Aucun artifice ne vient obstruer la vision que j'ai de tes traits fins que perçois comme parfaits. J'ai agrandi l'image au dimension d'un vrai viasge et ton regard plonge dans le miens. J'ai l'impression que tu es là, juste là, alors que sept cent kilomètres nous séparent. .... Je t'aime, il me tarde de te le dire avec ma voix. Il n'y a plus longtemps à attendre.


T h e B o d z z l e

LAITEUSE A PIER

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Voici mon ... hum 6ème ou 7ème, ... ou peut-être 8ème CD de Late of the pier, il s'appelle Bernard celui la ♥

IrréméDIABLE (que sais-je ?)

Je déteste la peinture, j'adore le dessin, la plume, pratiquement tout ce qui se rapporte à l'art, mais pas la peinture. C'est la seule qui me prouve que je suis médiocre, toujours là pour me dire : hé ! Cécile, souviens-toi que Dieu t'a faite comme une artiste médiocre, comme une ratée. En plus tout ce que je commence n'aboutit jamais, et je vois les autres arrivant au terme de leurs projets, parfois inutiles et vulgaire, alors que je ne parviens jamais à concrétiser ce qui germe dans mon imagination fertile. C'est injuste. Mais quelque chose me bloque, en fait, ce n'est peut-être pas la peinture que je déteste mais moi tout simplement, ou du moins la partie de moi qui m'empêche de réussir. Il faut que j'arrive à m'en débarrasser. 

Robot de bois

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Pouvoirs magiques :
Cécile : pouvoir d'écrire et téléautitipathie
Yanis : pouvoir de trouver des briquets, vision laser, briquetman et pouvoir du sac à dos de Dora (sacàdossacàdos)
Cécile : pouvoir de trouver des paquets de cigarettes, pouvoir de faire caler les voitures
Yanis : pouvoir de faire chanter les oiseaux
Yanis et Cécile : pourvoir d'être des princesses et des playmettes, pouvoir de s'asseoir, pouvoir TOUT PLEIN & DAIGUEULASSE, pouvoir de trouver nos pouvoirs, pouvoir de sens de l'orientation
Cécile : pouvoir de faire Aumetz-Thil à pieds (avec froid/neige/petites baskets), pouvoir de parler, pouvoir de tourner des pages
Yanis : pouvoir de parler à Anthony au téléphone

C'est drôle hein !

Aujourd'hui s'est déroulé ma première journée des exams de Pâques (encore 2 jours et c'est fini ♥) ... La première chose que j'ai vu en arrivant c'était les poils sur la main de ma voisine, une fille de terminale, assez PAS BELLE, avec les cheveux gras mais peignés au millimètre, une S quoi. Je me suis assise, ai attendu de recevoir mon sujet, et puis au moment de commencer, qu'est-ce que je vois, ma prof d'anglais qui cours vers moi (sur le coup j'ai vraiment cru que c'était grave parce qu'elle cours pas souvent), et puis une fois arrivée à ma table, elle m'as dis toute inquiète et essoufflée (par les 36 mètres de course acharnée qu'elle avait enchainé devant la foule en délire) : "Cécile ! Oh la la ! Mais tu veux sortir, hh ! Tu te sens mal ? T'es toute blanche, et t'as de ces cernes, vraiment tu veux pas sortir manger quelque chose ou ?". J'avais un peu envie de lui dire : bah non j'ai la classe c'est naturel, mais j'me suis retenue, alors j'ai fais d'une vois chétive : hum .... non, vous inquiétez pas, je me sens pas très bien, mais je vais faire mon exam quand même. Ça faisait fille dévouée, elle était impressionnée l'autre à côté. L'après midi, pour l'épreuve d'espagnol les choses se sont un peu compliquées ... Une fille de ma classe m'a aidé à distribuer les sujets, quand je suis revenue à ma place, j'ai lu celui qu'elle m'avait posé sur la table, et en le rapprochant de moi j'ai vu avec horreur mon carnet (pas un petit carnet hein, le carnet économique, format familial je parle) avec tous mes mots d'espagnol que j'avais préparé. J'ai une sensation de chaleur étouffante, et j'ai tenté le tout pour le tout (malgré les nombreux profs qui surveillaient autour le moi) : j'ai fait un bon spectaculaire sur ma chaise et ai fourré le carnet sous mes fesses, comme un tour de passe-passe, en moins discret (ma voisine a même sursauté). J'ai donc passé 3 heures assise sur un carnet, comme une fille normale, chose que je déteste au plus haut point, puisque que je m'assoie d'une façon très singulière, en lotus moche.

Love monster

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Si seulement je pouvais te voir, te toucher [...]

That eye, that girl

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Projets

Pendant les vacances je :

- Lirais une encyclopédie énorme sur l'Art sous toutes ses formes (vu que je n'arrive pas à lire d'autres livres que des encyclopédies).
- Irais aux 24 heures electroniques ♥ avec ma Bèèst4ah.
- Achèverais 2 boites de vogalib/arrêterais de manger parce que j'ai trop peur de vomir.
- Trafiquerais des clopes et des briques de Candia silhouette active.
- Ferais Metz express.
- Me coudrais des vêtements.
- Ferais des abdos.
- Prendrais des milliers de photos.
- Colorerais du lait en rouge pour le balancer contre un mur blanc et ainsi achever mon dernier projet d'arts plastiques.
- Arrêterais de manger du papier pour imprimante.
- Gouterais du liquide vaisselle (j'ai pas encore essayé).
- Insulterais ma cousine (qui aura commencé).
- Me coifferais (peut-être).
- M'entraînerais à faire tenir une cuillère sur mon nez et à faire le grand écart (mais pas en même temps).
- Écouterais la soundtrack de princesse mononoké pour finir par convulser et pleurer.
- Irais courir.
- Rangerais ma chambr... NAN J'RIGOLE !

Avant les vacances je :

- Déprimerais.
- Foirerais mes exams.
- Raterais mon contrôle d'ses (ça c'est fait).

Mon record par moyenne de partie

Soupirentiel

Vous savez comment commence une looongue journée, bien merdique, bien fatigante, le genre de journée qui finit par un doliprane et un morceau de fromage ? Non ? Je vais vous l'expliquer. Ce type de journées commence comme ça : 5h30 du matin, votre réveil sonne, la sonnerie vous agace (pourtant vous adorez cette chanson, Space and the woods de Late of the pier) et là vous appuyez sur votre portable totalement inutile puisqu'il ne marche qu'une fois sur deux, en vous mettez "arrêt" à la place de "répéter"donc vous vous réveillez à 7h00. Or, étant donné que vous avez tout le temps les cheveux gras, il faut vous les laviez, il faut que vous vous maquilliez, puisqu'au naturel, votre beauté vous donne le charme d'une truite, il faut aussi que vous prépariez votre sac pour l'école en retrouvant, bien entendu, des cahiers et des livres à moitié arrachés dans le foutoir le plus total dans lequel vous dormez. Toute cette étape va nécessiter plus d'une heure, car vous avez également défoncé la roulette pour évacuer l'eau de la baignoire avec vôtre pied endormi, sans oublier le handicap de votre mollet complètement bloqué depuis 3 jours. Après vous être lavé, vous remarquez que vous avez oublié vos vêtements, alors vous vous couvrez d'un serviette et retournez dans votre chambre en découvrant avec grand plaisir que votre voisin, le bon gros voisin ! vous fait coucou du haut de la remorque de son 4x4 (oui, il est exactement au même niveau que vous). A ce moment là, vous enrichissez vos connaissances et apprenez que mettre un collant (trop petit) assis dans un parterre d'objets (ceux qui jonchent le parquet de votre chambre) est une tâche plutôt difficile, qui demande : du temps, de l'adresse, de la concentration, et de l'enthousiasme (tout ce dont vous manquez quoi ..). A peine assis dans la voiture en réalisant que vous êtes habillé COMME UNE FILLE NORMALE, AVEC UN HAUT PANTHÈRE, UNE JUPE NOIRE, UN COLLANT NOIR, DES CHAUSSURES NORMALES, ...... VOUS DEVENEZ EXTRÊMEMENT IRRITABLE. Pour calmer votre crise de nerf naissante, vous parcourez le cover flow de votre Ipod, et ne trouvez aucune musique qui vous plaise, vous pensez au suicide (mais c'est pour plus tard), vous décidez alors de fermer les yeux. Quand ceux-ci s'ouvrent c'est le rose vulgaire et totalement dépourvu d'intérêt ou de cachet artistique de la façade de Saint Pierre Chanel qui vous agresse ou plutôt vous nargue. Vous arrivez à l'accueil, vous faites tomber par terre votre carte de cantine en essayant de passer le code barre parce que ça a déjà sonné, ET LA, en la ramassant, vous sentez pour la première fois de la journée, la plus que désagréable sensation de la jupe-qui-remonte/collant-qui descend (qui vous empêchera toute la journée de vous sentir bien). Les cours vous endorment, vous mangez à la cantine tout en vous faisant persécuter par l'homme que vous vénérez en l'échange de quelques séances de psycho. En sortant du self, une horde de rayons de soleil tente d'atteindre votre peau si parfaite et laiteuse, vous courez vous réfugier à l'ombre pour ne SURTOUT PAS bronzer. En remontant en haut un peu avant que les cours de l'après-midi ne débutent, vous vous faites attaquer par un garçon beaucoup moins agé que vous, qui vous déclare sa flamme et vous demande en mariage, malgré le fait que vous l'ayez déjà mis en garde à propos de votre petit copain actuel (la chose positive de la journée est que vous pensiez sans cesse à lui, VOTRE VRAI AMOUREUX ♥). Plus tard quand vous rentrez après être resté débout dans le bus, complétement abruti par les effluves de beuh que vous avez respiré tout au long du voyage, votre nez découvre une odeur assez familière : celle de la transpiration [extrêmement acide] de votre cher frère, (vous pensez au suicide mais c'est pour vos 25 ans). Ensuite un bébé se trouve dans la maison, à brailler comme un con (vous détestez les enfants) puis les bourriques qui étaient avec s'en aille, et votre mère prépare un plat dont l'odeur vous donne un mal de crâne insupportable, je vais prendre mon doliprane et manger un bout de fromage. BONNE NUIT !

& them